Quelle belle aventure!
18 et 19 mai - Les audacieux débarquent à ANTARES ! C’est le jour le plus long !
La préparation : Une telle opération demande de l’organisation. Depuis quelques mois, l’état major des TCS s’évertue à résoudre un grand nombre de problèmes administratif et logistique. Où les faire débarquer ? Après bien des interrogations le lieu d’arrimage sera ANTARES.
Le commandement revient à Any et James sera le grand coordinateur.
Le parcours : Vers quel axe aller ? A quel endroit se ravitailler ? Ce sera le travail d’Alain, de Thierry et de Joël.
La logistique : Les véhicules de transport – où les louer ? Combien en faut t’il ? Cette charge sera assurée par Jean Luc et Yvon.
Le ravitaillement : ce poste très important pour les Audacieux sera géré par Anita et Nelly. Elles auront aussi en charge le planning des bénévoles ce qui est parfois un vrai casse-tête.
Les petites mains comme on dit, mais ô combien sont-elles importantes pour tous nos audacieux. Elles apportent leur bonne humeur… toujours très serviable et attentionnée envers nous. Cela représente une cinquantaine de bénévoles pour assurer 60 h de travail non stop (accueil, inscription, repas, ravitaillements, sécurité).
Les pieds et les jambes ; quinze personnes pour la reconnaissance du parcours. A pied… mais aussi en voiture.
Le parcours : Vers quel axe aller ? A quel endroit se ravitailler ? Ce sera le travail d’Alain, de Thierry et de Joël.
La logistique : Les véhicules de transport – où les louer ? Combien en faut t’il ? Cette charge sera assurée par Jean Luc et Yvon.
Le ravitaillement : ce poste très important pour les Audacieux sera géré par Anita et Nelly. Elles auront aussi en charge le planning des bénévoles ce qui est parfois un vrai casse-tête.
Les petites mains comme on dit, mais ô combien sont-elles importantes pour tous nos audacieux. Elles apportent leur bonne humeur… toujours très serviable et attentionnée envers nous. Cela représente une cinquantaine de bénévoles pour assurer 60 h de travail non stop (accueil, inscription, repas, ravitaillements, sécurité).
Les pieds et les jambes ; quinze personnes pour la reconnaissance du parcours. A pied… mais aussi en voiture.
Jour J - départ 6 heures
Quatre jours plus tard…Je fais la reconnaissance du parcours de Cancale. Le soir, après le repas, assis sur un banc sur le port, je méditais sur le pourquoi d’un 200 km. Après ma journée passée dans un superbe paysage, je concluais : « sommes-nous normaux ? ». -Dix jours différents avec… -Dix fois plus de découvertes ; -Dix fois plus de plaisir sans bobos ; -Dix fois plus de rencontre. Nous sommes pourtant des êtres sensé (es)… raisonnables. Fernand Raynaud aurait dit : «On n’est pas des abrutis ! » -Toi ANY, super comptable toute ta vie ; -Jean-Yves érudit en mathématique, en théorèmes et conjectures ainsi que dans ton travail chez Dassault ; -François, dit l’Gamin érudit en toutes matières, l’univers, les étoiles, les oiseaux, la sociologie, et j’en passe ; -François dit le Furet, grand étudiant devant l’éternité, grand écologique ; -Jean-Claude autre éminence grise des TCS ; -Moi, l’humble pâtissier toujours au bout du rouleau et tous les autres qui sont-ils dans la vie ? « ils ne sont pas fous ? » Je vous donne mon avis éclairé d’audacieux : Les ampoules aux pieds ne servent à rien. On ne peut pas les utiliser… ça n’éclairent même pas nos pas ni nos idées ! Quelle souffrance on s’inflige !
J’ai échoué, d’autres aussi mais cela redonne une plus grande valeur à ceux qui ont réussi ce 200 km ! Bravo les filles ! Georgette, Anne et toutes les autres... Bravo à tous les mecs ! Jean-Yves, Joël, Thiery, Alain, François, Nono, Claude… Ce sont les pensées que j’avais hier en regardant les vacanciers. Eux avaient des visages épanouis, reposés. Ils n’étaient pas pressés et déambulaient sur le port, savourant une glace ou traînant leur pas au bras de leurs copines et de leurs marmots. Et que dire de tous ces amoureux mal assortis ? Le petit et la grande… le bien en chair et la maigrichonne… la belle fille et le moche… Ils ont l’air de s’ennuyer ! Consolation ! ils sont aussi mal foutus que nous après 40 heures ! ![]() Faut-il être con ! plus insensé, on ne fait pas ! Je n’ai ni regret, ni amertume… enfin si, j’ai un regret. J’aurai aimé finir ce 200km pour le dédier à mon ami Jean-Claude Conclusion : Je suis vraiment content d’avoir participé à ce gros défi des TCS ! |
Texte de Michel correction ANY
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