Arçonnay Le Mans en reconnaissance Audax

Fin de semaine épuisante.

Ce que nous que nous avons fait samedi et dimanche est le fruit d’un gros travail de préparation en amont par Alain secondé par Any et Anne. Nous étions toute une équipe pour faire le parcours à allure Audax .

 Le collectif est excellent, notre Tony Parker (Alain) clairvoyant dirige et distribue le jeu. La synchronisation est parfaite. Arrivée 7 heures au Gué Bernisson, chargement des sacs dans un véhicule de 9 places conduit par Anita accompagnée de Lulu. Direction Arçonnay. 8 heures, nous sommes sur place. Any et Anne vont nous rejoindre, leurs voitures sont stationnées à Ségrie. Relais ! Christian les prend en charge et les amènent au point de départ. Cest réglé comme du papier à musique. Un petit café, quelques gâteaux secs et c'est

Grue Centrée version Joël

parti pour 50 km. Plans ou descriptifs en mains, direction Mieuxcé (61), +DT, à TG, à TD, j’en ai 6 pages. 

J’ai bien des misères... pas facile de lire en marchant ! Je fais des sauts de lignes et de page. J'enlève mes lunettes pour mieux lire, mais du coup, je vois moins bien de loin …… !!! Pas drôle ! La matinée passe vite Mieuxcé, le Hesloup, Saint Céneri –Le Gerei, Saint Léonard des bois. Nous passons devant le bar à bière, sans nous y arrêter, traversons le pont, direction le parking. où nous attendent Anita et Lulu. Elles nous ont concocté un repas de fête... nappe sur la table avec de belles assiettes en dur, de beaux couverts et des couteaux qui ne coupent guère !  La classe quoi ! Au menu,  salade composée, rôti de porc, chips, fromage et foison de déserts (chocolat, flan et tarte aux pommes) le tout arrosé de Saumur Champigny et suivi d'un café. Repas chaleureux et convivial mais le redémarrage est difficile... estomac lourd, jambes lourdes. J’ai envie d’une petite sieste.  Pas de chance, c’est un démarrage en côte. Any et bibi calons un peu. Le moteur chauffe. Il fait chaud et c'est  corvée pour Any. Nous traversons Sougé-Le Ganelon, Fresnay sur Sarthe. Arrêt dans le

Plus que 83 km

parc du château pour se requinquer, et pour se rincer les amygdales. Nous étions bien mais faut r'partir ! Direction  Saint Aubin–De-Locquenay, puis longue montée sur Saint-Christophe-du-Jambet, direction Ségrie. Fatiguant ! C'est la dernière côte avant Ségrie s’exclame Alain. Cest long. 18h45, nous arrivons à destination. On ne traîne pas direction l’hôtel pour savourer un des meilleurs moments de la journée : la douche. Ensuite une bonne mousse, un bon repas, une bonne glace !!! La détente complète avec les ami(es), moment privilégié de la soirée. Dix heures du soir, les rideaux sont tirés, je tombe dans les bras de Morphée
Deuxième jour :
 Debout six heures, toilette, sacs à faire, à charger, petit déjeuné à avaler, pas de temps à perdre Anne et Any repartent à Saint-Mars d’Outillé pour la randonnée d’automne. Jean-Claude nous rejoint à Vernie suivi de Bernard. Ils sont les bienvenus.   Sans eux,  nous aurions fait les 2 km à pied. François sur le parking a la tête dans les étoiles. Que voit t'il ? lui sait... moi pas. Sept heures quinze, c’est reparti : Assé-Le-Riboul, Saint Marceau avec son Prieuré et l’Eglise Saint Julien, Saint Jean d’ Assé, La Bazoge, Neuville sur Sarthe ,Saint Pavace, Coulaines et enfin Le Mans.  Au 88,500km, nous faisons  petit tour dans les rues du vieux Mans non sans avoir grimpé les marches du tunnel. Direction les bords de Sarthe, le chemin de halage, le Gué Maulny. Encore quelques rues pour

Parker " Alain" et son équipe

rejoindre la rue Jean Jaurès, la promenade Newton, les bord de l’ Huisne. Arrivée au Gué Bernisson à 18 heures. Ouf la balade est terminée. Dur pour moi, j’ai faibli dans certaines montées, j’ai eu soif, j’ai mal au dos, le sac était lourd.  Rien n’est jamais acquis même lorsqu'on est rôdé à l’effort, d’où le grand mérite de Françoise qui, elle, était moins rodée. Merci à Lulu Anita pour le repas festif, à Any pour le San Pelligrino (c'est de l'eau) dimanche sur  la fin de parcours.  Que va t-il    me rester des propos et conversations de qualité fait par nos deux érudits.insatiables ? La physique  et la mécanique des quantiques

18 heures c’est fini... J'en ai plein les bottes et  comme le dit souvent NONO : "La route est plus longue que large !"  Récit  Michel