Reconnaissance Cancale

Magnifique Bretagne sous un ciel bleu

Nous allons être deux cars (114 pers)un véhicule de 9 places, deux voitures et une voiture sur place.Nous arpenteront le GR 34 sur 25 Km d'autres sur 12 km, pour une grande journée familiale et de convivialité, à allure pépère. A vos appareils photos!

La grande vadrouille des audacieux

Quelle belle aventure!

 

18 et 19 mai - Les audacieux débarquent à ANTARES ! C’est le jour le plus long  !

La préparation : Une telle opération demande de l’organisation. Depuis quelques mois, l’état major des TCS s’évertue à résoudre un grand nombre de problèmes administratif et logistique. Où les faire débarquer ? Après bien des interrogations le lieu d’arrimage sera ANTARES.

Le commandement revient à Any et James sera le grand coordinateur.
Le parcours : Vers quel axe aller ? A quel endroit se ravitailler ? Ce sera le travail d’Alain, de    Thierry et de Joël.   
La logistique : Les véhicules de transport – où les louer ? Combien en faut t’il ? Cette charge sera assurée par Jean Luc et Yvon. 
Le ravitaillement : ce poste très important pour les Audacieux sera géré par Anita et Nelly. Elles auront aussi en charge le planning des bénévoles ce qui est parfois un vrai casse-tête.
Les petites mains comme on dit, mais ô combien  sont-elles importantes pour tous nos audacieux. Elles apportent leur bonne humeur… toujours très serviable et attentionnée envers nous. Cela représente une cinquantaine de bénévoles pour assurer 60 h de travail non stop (accueil, inscription, repas, ravitaillements, sécurité).  
Les pieds et les jambes ; quinze personnes pour la reconnaissance du parcours. A pied… mais aussi en voiture. 

Jour J - départ 6 heures 

La grande aventure commence ! Les moments de bonheur ne durent pas. Au bout de 50 km, les têtes changent déjà.  Je passe vite sur les mille misères de tout un chacun.  Pour beaucoup, ce sont des pieds de l L' équipe de Marie Odyle ampes, ou des guirlandes pleines d’ampoules et cela au bout de quelques kilomètres. Eh ben, on n’est pas au bout pense le Gamin. A la tombée de la nuit, au kilomètre 75, c’est le premier abandon. Au Km 105… c’est mon tour ! Assis sur un banc je suis pris de vertige, la tête me tourne et je me mets à transpirer. On me soutient. Mon coup de barre dure 5mn pendant lesquelles je ne suis plus en état de marche. Quand ça va mieux, c’est trop tard… ils sont partis sans moi, et ils sont déjà trop loin pour que je puisse les rattraper ! Que s’est t’il passé après dans la voiture ? C’est le trou noir jusqu’au Lude. Bien d’autres abandons auront lieu dans la journée, et pas des petites pointures. Nos deux jeunes filles qui ont arrêté au 97ème et 120ème km sont allées au bout de leurs forces sans gémir n’y pleurer et toujours souriantes.  Superbe leçon de courage ! Any, François iront jusqu’ à l’impossible. De marcheur, je finis comme bénévole soulageant les uns et les autres au chargement des sacs dans le camion. Yvon toujours stoïque Marcheurs, soyons gentils avec les bénévoles.  Ils font un gros travail dans les ténèbres… souvent sans les honneurs (il n’y a pas d’aigle pour eux). D’avoir abandonné, m’a fait découvrir le côté coulisse, principalement     tout le travail de synchronisation et de gestion d’une équipe 50 personnes fait par Anita et Nelly. Leurs tableaux Excel m’ont sidéré, comme m’ont épaté aussi le flegme de Marie-Odile et d’Yvon face à toutes les situations et le professionnalisme de Ginette, James… et  pour le soulagement  des bobos et  des misères Martine et Sylvie Pardon, je ne peux pas tous les citer car je vais en oublier…

Quatre jours plus tard… Je fais la reconnaissance du parcours de Cancale. Le soir, après le repas, assis sur un banc sur le port, je méditais sur le pourquoi d’un 200 km. Après ma journée passée dans un superbe paysage, je concluais : « sommes-nous normaux ? ». Sur le port de Cancale Pourquoi ne pas diviser la distance par dix ? Soit : -Dix jours différents avec… -Dix fois plus de découvertes ; -Dix fois plus de plaisir sans bobos ; -Dix fois plus de rencontre.  Nous sommes pourtant des êtres sensé (es)… raisonnables. Fernand Raynaud aurait dit : «On n’est pas des abrutis ! »   -Toi ANY, super comptable toute ta vie ; -Jean-Yves érudit en mathématique, en théorèmes et conjectures ainsi que dans ton travail chez Dassault ; -François, dit l’Gamin érudit en toutes matières, l’univers, les étoiles, les oiseaux, la sociologie, et j’en passe ; -François dit le Furet, grand étudiant devant l’éternité, grand écologique ; -Jean-Claude autre éminence grise des TCS ; -Moi, l’humble pâtissier toujours au bout du rouleau et tous les autres qui sont-ils dans la vie ? « ils ne sont pas fous ? » Je vous donne mon avis éclairé d’audacieux : Les ampoules aux pieds ne servent à rien. On ne peut pas les utiliser… ça n’éclairent même pas nos pas ni nos idées ! Quelle souffrance on s’inflige ! Le pied et les mains On nous a mis des bancs ! superbe intention ! Cela ne nous a pas empêchés d’arriver tout bancals, les uns côté droit, les autres côté gauche voire penchés vers l’avant ! J’ai échoué, d’autres aussi mais cela redonne une plus grande valeur à ceux qui ont réussi ce 200 km ! Bravo les filles !  Georgette, Anne et toutes les autres... Bravo à tous les mecs ! Jean-Yves, Joël, Thiery, Alain, François, Nono, Claude… Ce sont les pensées que j’avais hier en regardant les vacanciers. Eux avaient des visages épanouis, reposés. Ils n’étaient pas pressés et déambulaient sur le port, savourant une glace ou traînant leur pas au bras de leurs copines et de leurs marmots. Et que dire de tous ces amoureux mal assortis ? Le petit et la grande… le bien en chair et la maigrichonne… la belle fille et le moche… Ils ont l’air de s’ennuyer ! Consolation ! ils sont aussi mal foutus que nous après 40 heures ! Quoique non ! Nous n’étions pas si mal foutus que ça ! Certes, nous en avons bavé volontairement… nous avons eu des petites misères mais ceux qui ont réussi étaient sur leur petit nuage avec la satisfaction d’avoir accompli un petit exploit…  Faut-il être con !  plus insensé, on ne fait pas ! Je n’ai ni regret, ni amertume… enfin si, j’ai un regret. J’aurai aimé finir ce 200km pour le dédier à mon ami Jean-Claude Conclusion : Je suis vraiment content d’avoir participé à ce gros défi des TCS !

Texte de Michel correction ANY

(règlement audax)

http://www.lemainelibre.fr/sites/default/files/2012/05/17/une.pdf

Préparatif du 200 KM audax Le Mans

 

Les étoiles nous guident

Les chaussures nous portent.

Les lauriers nous attendent...

...Les dés sont jetés.???

Photo du C.R.C.E de Rosporten

Les TCS font du cinéma

Vendredi un  reportage télévisé de LM TV  à été tourné à Saint Mars d' Outillé sur la marche audax

Ne pas manquer la séance qui passera entre lundi et mercredi .

Pour l' instant nous ne savons pas l' heure ?     

Information des TCS

18h30,les tasse-Cailloux (dans le cadre du 200km seront sur le plateau de LMTV chaine 23
Direct ou pas ils ne peuvent le dire à vos postes

Randonnée à Château du Loir

Sur les chemins de Monhoutou  Marolle  et de Saint d'Aignan

Mardi balade dans une très belle nature, fleuri à souhait de cytises, fortement mouillée dans des chemins creux,  herbeux et  boueux. Dix huit kilomètres le matin et  neuf kilomètres l' après-midi. Sur le parcours des escargots quelques petits rosés  et même que nous avons trouvé  une petite morille totalement esseulée. Pas de pitié elle va finir en omelette! Pour conclure nous avons passé une excellente journée de randonnée.Merci aux organisateurs pour leur accueil chaleureux

Et pour parfaire notre forme avant le 200 km lundi nous étions avec mes camarades Any , François et ma pomme en  randonnée sur le secteur de Saint Saturnin et de la Bazoge une randonnée soutenue de 20 km " les dieux nous ont accompagnés ( pas de pluie). Demain nous partons nous promener à Pruillé le Chétif pour 16 kilométres

Récit de Michel non corrigé

 La randonnée en musique. Holé !

Tout sur la chapelle Sainte Cécile à Flée du côté de Château du Loir

25 ième marche de Noirmoutier ( la tempête)

Dimanche vent  et virée de galerne

Journée intense"randonneurs(es) increvables

Recette à faire saliver avec les pommes de terre Primeur de Noirmoutier