De Mousseaux/Seine (Yvelines) à Giverny (Eure)
il n’y a qu’un pas et c’est là, dans les boucles de Seine que les TCS ont passé leur week-end du 13-14 avril 2019. D’abord accueillis au camping de Mousseaux par Brigitte (sarthoise d’origine), qui nous a réservé un accueil chaleureux et des prestations irréprochables, nous sommes partis samedi matin à
pied du camping en longeant la Seine. Après avoir traversé le village de Moisson, nous nous sommes baladés dans la réserve naturelle de la Boucle de Moisson, puis avons repris le chemin du retour par l’île de loisirs où se trouvait notre restaurant La Rotonde pour le dîner. La cadence ayant été bien soutenue, nous avons largement le temps de nous préparer pour la soirée.
Et nous voilà repartis à pied au restaurant situé à 2,5km de notre camping. A 19h un apéritif nous attend dans une belle salle avec vue sur l’étang. Après l’entrée de crudités et charcuterie en self service, la cuisse de canard confit sauce à l’orange a ravi nos papilles, suivie du fromage et d’une tarte (poire ou chocolat). Tout ce petit monde bien repu est reparti vers 23h à pied au camping, d’un pas assuré, bien décidé à rejoindre le lit au plus vite !
Le dimanche matin, tous nos chauffeurs grattent les pare-brises avant de repartir en voiture vers Giverny.
il n’y a qu’un pas et c’est là, dans les boucles de Seine que les TCS ont passé leur week-end du 13-14 avril 2019. D’abord accueillis au camping de Mousseaux par Brigitte (sarthoise d’origine), qui nous a réservé un accueil chaleureux et des prestations irréprochables, nous sommes partis samedi matin à
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| Le déjeuner sur l' herbe des TCS |
Déambulant d’abord dans le village, nous attaquons une belle montée qui nous conduira vers le village de Sainte Geneviève-lès-Gasny. Comme hier, nous retrouvons à midi, Michel, notre "livreur" de pique-niques, merci Michel de nous permettre de marcher léger. Il n’y a pas que Manet et Monet qui ont leur "Déjeuner sur l’herbe", nous aussi et il fut tout aussi champêtre … et un peu plus vêtu que celui de Manet (voir photos) Et revoilà Michel, cette fois en reporter, pour filmer la troupe dans une bonne descente ! C’est le retour vers Giverny et comme tout le monde a bien marché, nous avons le temps de remonter vers les Coteaux qui nous offrent une
vue sur le village.
Il est maintenant 15h15, l’heure de la visite du jardin et de la maison de Claude Monet a sonné. Nous nous y sommes éparpillés, retrouvés et chacun a visité librement ce site, une découverte pour beaucoup, qualifiée de vrai bouquet final par Carole.
Merci à tous d’avoir été respectueux des consignes, ponctuels, ce qui a permis le bon déroulement de cette escapade et dans la bonne humeur. Vous avez été au top !
Les
Le soleil était de la partie, samedi,
pour encourager la trentaine de bénévoles qui ont planté en deux jours les 6000
ceps de chardonnay qui donneront naissance, dans trois ans, au vin des coteaux
de Giverny.
Cela n’a l’air de rien, mais c’est tout un art de planter un pied de vigne.
Un coup de pioche en diagonale, ni trop profond ni trop superficiel, pas trop
loin non plus du piquet, et hop !
Article du 24 mars 2019
La vigne est plantée sur les coteaux de Giverny, dans l’Eure
Les 6000
pieds de vigne plantés sur les coteaux de Giverny
devraient permettre à Camille Ravinet de produire un vin blanc de qualité dès
2022.
Camille
Ravinet espère produire sa première bouteille de vin blanc en 2022.
Le soleil était de la partie, samedi,
pour encourager la trentaine de bénévoles qui ont planté en deux jours les 6000
ceps de chardonnay qui donneront naissance, dans trois ans, au vin des coteaux
de Giverny.
Cela n’a l’air de rien, mais c’est tout un art de planter un pied de vigne.
Un coup de pioche en diagonale, ni trop profond ni trop superficiel, pas trop
loin non plus du piquet, et hop !
Planter un pied ça prend
trente secondes, et ça pousse 80 ou cent ans, explique Camille Ravinet,
23 ans, à l’origine du projet. L’idée, c’est de retrouver l’entité
paysagère de l’époque. Recouvrir ces coteaux avec des rangs de vigne comme au
XIXe siècle. »
Vinifié
en Bourgogne
Ce vin, à quoi
ressemblera-t-il ? « Un vin très sec, très minéral, avec des arômes
de silex, prédit Camille, né à Bennecourt. Très peu de sulfites.
On va jouer le côté Natura 2000. » Le jeune homme n’a rien laissé au
hasard : choix du cépage, financement participatif (les 14 000 €
collectés sur Miimosa couvrent
l’achat des pieds et des piquets) et haut patronage de vignerons
aguerris :
« Sitôt
récolté, le raisin sera transporté par camions frigorifiques en Bourgogne, à
côté de Chablis, et vinifié par le Domaine Verret. »
Pour voir les photos cliquez sur les liens en bleu
Soirée repas à la base de loisirs
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